Le bonheur est dans le Périgord

Le bonheur c’est que pour trouver les champignons comestibles (je passe sur quelques espèces de seconde zone comme le bolet rude par exemple et d’autres que je ne connais pas), je n’ai même pas à prendre la voiture.

Un petit tour d’horizon pour des espèces que je consomme et que je trouve autour de la maison.

J’ouvre la porte, à vingt mètres à peine (évidemment selon l’époque), le rosé des prés est le premier que je rencontre. A 30 mètres c’est la nonette ou bolet jaune, à 50 voilà le lactaire délicieux.

morchella esculenta

Pour trouver des cépes et girolles, il me faut faire 300 m. Et pour la morille, morchella esculenta, j’ai une distance de 500 m à franchir.

C’est pas du bonheur ça ?

4 commentaires.

  1. Quel bol, je suis fan du Périgord….le seul hic, j’habite pas le Périgord….Veinard, profite, on se régalera par….procuration !!

  2. C’est un des avantages d’habiter vers chez nous.
    Mais j’aimerais bien qu’il y est une bonne pousse de cèpes cette années, j’ai plus de réserves.

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